(En anglais)
Il a publié plus de 30 livres et plus de 600 articles et a travaillé comme enseignant et directeur de l’école secondaire Pavlysh dans la région de Kirovgrad en Ukraine pendant près de 25 ans. Son héritage se caractérise par la polyvalence et l’universalité, c’est-à-dire qu’il a étudié de manière indépendante toutes les questions directement et indirectement liées à l’éducation et a créé des idées et des expériences uniques. Ainsi, il a laissé une marque unique dans tous ces domaines, qu’il s’agisse de la didactique, de la pédagogie ou des études scolaires. Il attachait une importance particulière à la formation d’une attitude humaine de l’enseignant envers les enfants. Selon Sukhomlinsky, le premier signe de pédagogie de l’humanité est la capacité de comprendre l’âme des enfants.
Extrait du livre de V.A. Sukhomlinsky “Je donne mon cœur aux enfants”
Il est difficile pour un enfant qui a une mauvaise mémoire de penser. Je me suis longtemps préoccupé de la question de savoir comment renforcer et développer la mémoire des enfants, l’enrichir de concepts, de vérités et de généralisations qui pourraient toujours servir d’outil de réflexion… Les échecs ont occupé une grande place dans l’éducation de la culture et de la pensée. Shura, Galya, Seryozha, Yura, Vanya, Misha et d’autres enfants ont déjà appris à jouer aux échecs à “l’école de la joie”. Garçons et filles étaient souvent assis devant l’échiquier. Le jeu d’échecs a discipliné la pensée, élevé la concentration. Mais la chose la plus importante ici est le développement de la mémoire. En regardant de jeunes joueurs d’échecs, j’ai vu comment les enfants recréent mentalement la situation qui était et imaginent ce qui sera. Je voulais vraiment que Valya, Nina et Petrik soient assis à l’échiquier. Je leur ai appris le jeu et les enfants ont réfléchi aux prochains mouvements. L’échiquier m’a fait découvrir la pensée mathématique de Lyuba et Pavel. Avant de jouer aux échecs (ces enfants ont commencé à jouer en 3e année), je n’ai pas remarqué l’acuité et la ténacité de leurs pensées. Sans échecs, il est impossible d’imaginer une éducation à part entière des capacités mentales et de la mémoire. Le jeu d’échecs doit entrer dans la vie de l’école primaire comme l’un des éléments de la culture mentale. Nous parlons de l’école primaire, où l’éducation intellectuelle occupe une place particulière, nécessite des formes et des méthodes de travail particulières. (Pour plus de détails, voir V.A. Sukhomlinsky “Je donne mon cœur aux enfants”, Kichinev : Lumina, 1978, p.131-132). Le jeu d’échecs doit entrer dans la vie de l’école primaire comme l’un des éléments de la culture mentale. Nous parlons de l’école primaire, où l’éducation intellectuelle occupe une place particulière, nécessite des formes et des méthodes de travail particulières. (Pour plus de détails, voir V.A. Sukhomlinsky “Je donne mon cœur aux enfants”, Kichinev : Lumina, 1978, p.131-132). Le jeu d’échecs doit entrer dans la vie de l’école primaire comme l’un des éléments de la culture mentale. Nous parlons de l’école primaire, où l’éducation intellectuelle occupe une place particulière, nécessite des formes et des méthodes de travail particulières. (Pour plus de détails, voir V.A. Sukhomlinsky “Je donne mon cœur aux enfants”, Kichinev : Lumina, 1978, p.131-132).
D’après les travaux de V.A. Sukhomlinsky “Cent conseils pour un enseignant”
Pour les loisirs, je conseille à un lycéen de jouer aux échecs et de lire de la fiction. Jouer aux échecs dans un silence absolu, avec une concentration totale est un outil merveilleux qui tonifie le système nerveux et discipline la pensée. (Pour plus de détails, voir V.A. Sukhomlinsky “One Hundred Tips for a Teacher” // V.A. Sukhomlinsky “Selected Works” in 5 volumes, volume 2. Kiev: Radyansk school, 1984, p. 208-209. Paragraphe 88 “Comment cultiver l’autodiscipline dans le travail mental”, paragraphe 7).